La pollution lumineuse transforme nos nuits en jour artificiel, bouleversant l’équilibre fragile de la faune nocturne.
Sur les routes, les phares, lampadaires et enseignes éclairent en continu, désorientant les chauves-souris, les insectes, les amphibiens, les rapaces nocturnes ou les mammifères qui dépendent de l’obscurité pour se nourrir, se reproduire ou s’orienter.
Cette lumière intrusive attire, piège ou repousse, perturbant les cycles naturels et augmentant les risques de collision. Restaurer l’obscurité, c’est redonner aux animaux la nuit dont ils ont vitalement besoin.
Dans sa thèse, Romain Sordello, ingénieur écologue au Muséum, nous parle des effets nocifs de la pollution lumineuse sur la biodiversité.
© MNHN - S. Pagani / E. Moraldo
#nuitdesétoiles #pollutionlumineuse #biodiversité #faune
Sur les routes, les phares, lampadaires et enseignes éclairent en continu, désorientant les chauves-souris, les insectes, les amphibiens, les rapaces nocturnes ou les mammifères qui dépendent de l’obscurité pour se nourrir, se reproduire ou s’orienter.
Cette lumière intrusive attire, piège ou repousse, perturbant les cycles naturels et augmentant les risques de collision. Restaurer l’obscurité, c’est redonner aux animaux la nuit dont ils ont vitalement besoin.
Dans sa thèse, Romain Sordello, ingénieur écologue au Muséum, nous parle des effets nocifs de la pollution lumineuse sur la biodiversité.
© MNHN - S. Pagani / E. Moraldo
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